Comment faire des économies de trésorerie ?

L’heure est aux économies. La gestion de la trésorerie s’impose jusqu’à interférer dans le fonctionnement de l’atelier. Nécessaires à la production, les dépenses courantes en produit consommable sont la cible de bien des négociations. Faut-il réduire ces achats pour dégager des solutions de trésorerie ? Comment s’y prendre pour que ce soit un bon plan ? Excellente idée, assure le directeur de Blaser Swisslube France, il reste bien souvent des économies immédiates que l’on peut mettre en œuvre, mais sachons éviter les pièges d’une vision simpliste de la finance.

Visite atelier Hubert Smagghe client Joffrey De Reu
Visite d’atelier avec Hubert Smagghe et son client Joffrey De Reu.

La baisse d’activité impacte, à des degrés divers, toutes les entreprises de production. Les raisons sont multiples : arrêts de production (Covid-19), évolution technologique pour l’automobile, tensions dans l’aéronautique… Il faut faire encore mieux que «  s’adapter par tout moyen ». La réactivité est une clé pour le contrôle de sa trésorerie. Concernant la gestion du lubrifiant, l’expérience de terrain des spécialistes Blaser Swisslube pourrait être, non pas utile, mais décisive. Philippe Lacroix en est convaincu. Plusieurs stratégies peuvent être envisagées.
La première option consiste à se focaliser sur un produit à prix réduit. Aussi intéressante qu’elle soit, l’idée doit être traitée dans son contexte : le lubrifiant exerce une fonction technique. Sur lui repose la composante clé du paramétrage de la fiabilité, de la qualité et de la productivité. Il influence directement l’ensemble des acteurs du process d’usinage, soit 95 % du coût d’obtention d’une pièce. Le changement du lubrifiant entraine un changement significatif de l’équilibre des postes d’usinage et une redistribution des coûts de fonctionnement et de maintenance. A titre d’exemple, souvenons-nous que pour un euro de lubrifiant dépensé, l’entreprise consacre au moins cinq euros en frais d’outils, voire même vingt euros dans l’aéronautique ou le médical. Changer de lubrifiant implique un processus nécessitant la vidange de toutes les machines puis l’élimination des produits collectés. C’est donc une démarche lourde, assez onéreuse et peu réversible. La prudence sied au décideur.

Avant d’envisager un changement, il est préférable de s’assurer que l’on ne met pas en cause un lubrifiant ayant démontré sa rentabilité suite à une étude et des résultats comparatifs. Un remplacement peut mettre en péril le fonctionnement de la chaine de production et ruiner les gains continus qui en découlent. Dans ce cas, les risques encourus se paient cash.

Philippe Lacroix directeur Blaser Swisslube France
Philippe Lacroix, directeur de Blaser Swisslube France

Lubrifiant adapté : économie immédiate et vision long terme

Deux options restent encore à examiner. En développant l’idée que chaque huile de coupe interfère différemment dans la relation outil-matière. Beaucoup d’entreprises peuvent trouver une solution avantageuse en sélectionnant un « outil liquide » adapté à leurs besoins et objectifs, qu’ils soient économiques ou de satisfaction clients. De nouvelles générations de fluide de coupe offrent de véritables leviers de productivité et de création de richesse. Le lubrifiant parfaitement adapté aura un impact très significatif sur les dépenses en produits consommables : énergie, outils et lubrifiants. Son utilisation apportera un effet rapide, voire immédiat sur le niveau de trésorerie ! De plus, il aura une influence durable sur la productivité, l’organisation de production et les coûts globaux de l’atelier. Les trophées Blaser Swisslube ont largement démontré l’amplitude des gains économiques, mais aussi techniques, liés à une stratégie de lubrification adaptée aux objectifs, nature de fabrication et environnement de production. Cela se vérifie aussi bien dans les petites entreprises de mécanique que dans des structures dédiées à la production de masse ou spécialisées.

Les avantages significatifs et mesurables apportés par un «  outil liquide  », lubrifiant parfaitement adapté, correctement utilisé et entretenu concernent notamment  : la réduction des coûts d’outillage (longévité, bris d’outils), la diminution de la consommation de fluide de coupe, la réduction des déchets et les coûts de traitement, la baisse des coûts de maintenance des machines, une meilleure hygiène et santé du personnel, la réduction des temps de cycle et du nombre d’opérations, la diminution des aléas en production et des rebus…

La stratégie du lubrifiant d’usinage comme levier d’optimisation des coûts est une option qui s’inscrit dans une perspective de changements qui aideront la mutation de l’entreprise pour s’adapter aux évolutions du marché. Pour poser un diagnostic et faire l’analyse des solutions répondant à cet objectif, le savoir-faire des conseillers Blaser Swisslube France est incontestable. Formés et disposant d’une assistance connectée à une importante base de données, ils peuvent offrir une grande réactivité sur le choix de la solution et donner une estimation des gains générés.

Des coûts cachés à valoriser pour la trésorerie

Une troisième voie peut être explorée avantageusement. Engagés dans une démarche routinière de distribution du lubrifiant à la demande des usagers, les responsables de production ignorent l’amplitude des économies pouvant être obtenues grâce à une meilleure gestion de l’usage et un meilleur recyclage. Gérer au plus juste ne s’improvise pas. La meilleure preuve est que ces économies potentielles n’ont pas été identifiées comme pertinentes en interne. Pourtant, ces économies à effet immédiat sur la trésorerie atteignent des niveaux élevés. Elles sont bien connues des conseillers Blaser Swisslube qui vont les repérer lors d’une visite sur le terrain. Rien d’exceptionnel pour eux, c’est une de leur mission quotidienne conduite en partenariat avec leurs clients : traquer les surconcentrations inutiles  ; améliorer la récupération du lubrifiant après usinage ; augmenter la durée de vie d’un lubrifiant en faisant un suivi adapté, comme par exemple, en déshuilant les huiles étrangères ; comprendre et anticiper les éventuelles variations de votre lubrifiant pour s’affranchir de dépenses en additifs ou de vidanges coûteuses.

Blaser liquidtool analyser trésorerie
Blaser liquidtool Analyser

A chaque atelier une situation différente, nos responsables de secteur sont formés pour diagnostiquer et conseiller les solutions appropriées. Ils vous feront éviter des approvisionnements excessifs. Des gains de consommation de 30 % sont envisageables. Ces gains dépassent haut la main la barre des 50 % dans le cadre d’une stratégie 4.0 de récupération et recyclage bien coordonnée. 

Le lubrifiant offre une diversité d’opportunités pour améliorer votre trésorerie sur le court et le plus long terme. La spécificité de ce produit tient dans son influence sur l’ensemble des coûts et des leviers de performance d’une fabrication. Le choix et la gestion d’un lubrifiant d’usinage sont des décisions stratégiques qui impriment durablement un changement pour l’entreprise. Blaser Swisslube s’engage. Ces résultats attestent d’un savoir-faire et de moyens dédiés à la performance, aux résultats économiques et à la préservation de l’environnement. 

Retrouvez l’article paru dans le n°1089 de Machines Production

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