Microtechnique et lubrifiant, succès retentissants !
Présent au salon Micronora qui se tient à la fin du mois, Blaser Swisslube est un précurseur dans l’amélioration des process de production avec l’Outil Liquide. Le fabricant suisse dispose d’une gamme élargie de lubrifiants au service de la microtechnique et de l’usinage de haute précision. Exigences élevées, procédés délicats, outils fragiles de petites tailles, les raisons sont multiples pour qui souhaite développer la qualité de ses pièces tout en améliorant la productivité et rentabilité de son atelier.
Peugeot Saveurs & Blasomill : l’évidence
Parfaitement adaptée à l’usinage haute pression, même à plus de 30 bars, la gamme d’huile entière Blasomill GT propose une évacuation d’air d’une rapidité incomparable et dispose d’un point d’éclair élevé. Cette gamme, à base d’huile Gas To Liquid hautement raffinée, est cristalline et incolore. Elle dispose d’un pouvoir coupant et de capacité de refroidissement très élevés particulièrement appréciables en décolletage avec des outils fragiles ou de diamètres proches de ø 0,1mm.
Son utilisation est parfaitement adaptée aux matériaux réfractaires, titane, chrome-cobalt, inconel, métaux non ferreux ou précieux, aluminium, acier et inox. Blasomill GT fait ses preuves sur des applications multiples telles que le médical, l’aéronautique, l’horlogerie et tous les domaines qui nécessitent certifications et exigences en termes de pureté, nettoyage et performance. Et depuis peu, les atouts de cette huile entière se dupliquent désormais dans la gamme spécifique pour la rectification : Blasogrind GT.
Pour Peugeot Saveurs SNC, le choix du Blasomill GT a été déterminant dans le process de taillage de dentures hélicoïdales, étape clé dans la réalisation de son moulin à poivre iconique. Les paramètres de coupe étaient aux limites de la surchauffe, causant des brouillards d’huile et des irritations cutanées. De plus, les coûts d’outils restaient élevés et la finition insuffisante : présence de bavures à reprendre en tribofinition. Aujourd’hui grâce au lubrifiant, la production est passée de 60 000 à 90 000 pièces. Le changement d’outil a été fortement réduit et les problèmes d’irritations ont disparu. Enfin, la qualité des pièces a augmenté tout en supprimant l’opération d’ébavurage. Indéniablement, l’équilibre trouvé dans ce processus de fabrication met en exergue l’intérêt d’un environnement de qualité avec une huile de coupe adaptée. La valeur créée dans cet atelier est une invitation à prendre en compte autrement l’étude de coût d’une pièce.
Neosteo & Vascomill : la même exigence
Autre fluide pour autres sources de satisfaction, la gamme d’huile entière base végétale hautement raffinée Vascomill est un parfait exemple d’adaptation dans un milieu ou la précision est essentielle. Le film d’huile très résistant et sa polarité assurent une bonne protection de l’arête de coupe. Elle est peu volatile et son degré de fluidité évite une déperdition du produit. Dirigeant de Neosteo, fabricant de dispositifs médicaux, Guillaume Derouet ne tarit pas d’éloge à son sujet.
« C’est une huile de coupe fluide, idéale pour le décolletage. Elle influence de façon très importante la qualité de la coupe, ce qui se retrouve au niveau de l’état de surface et de la longévité des outils. Les temps morts machine sont réduits au maximum. Pour rester dans la logique d’une production continue avec un minimum d’arrêts de maintenance, le choix des gammes d’usinage est établi en évitant, ou limitant si possible, certaines opérations sur le titane qui libèrent des micro particules et colmatent les systèmes de filtration. » Adoptée avec succès en arrosage haute pression sur des centres d’usinage UGV, l’huile de coupe a clairement fait ses preuves dans l’environnement très exigeant que représente le secteur médical. Elle a notamment éliminé les causes d’arrêt machine, pour un fonctionnement continu des installations 24h/24 tout en améliorant la santé opérateur avec la disparition des brouillards. D’un point de vue comptable, le calcul est lui aussi clair et sans appel avec des indicateurs de performances évidents :
- Réalisation continue d’une série de pièces représentant 150 heures d’usinage cumulé sans arrêt machine, ni correction d’outil ni intervention opérateur,
- Des outils dédiés aux usinages courants dont la longévité peut atteindre jusqu’à 5 mois,
- Taux de rebus dans l’atelier proche de 0,5%,
- Taux moyen annuel de 20 heures productives par jour par machine.
Si l’on pense naturellement à l’aéronautique, le luxe ou encore le médical, les secteurs amenés à réaliser des usinages complexes et de très haute précision sont légions et d’autre requiert également des process d’usinage tout aussi pointus. De nombreux autres exemples sont d’ailleurs à retrouver sur le site. Quand l’excellence est de mise, le lubrifiant Blaser, parfaitement adapté, confère un avantage majeur à ses utilisateurs et leur permet d’envisager l’avenir plus sereinement.
Retrouvez cet article paru dans Machines Production Vallée n°1123 ici